
Durant quatre mois, j’ai travaillé en tant que correctrice ortho-typographique pour une jeune maison d’édition parisienne. C’est une startup montante qui propose des résumés d’ouvrages déjà parus chez d’autres éditeurs. Les sujets étaient extrêmement variés, allant de la stratégie marketing, au développement personnel en passant par la politique.
Les textes proposés étaient généralement assez courts (15 000 signes environ). Par ailleurs, la correction s’effectuait autour d’un échange de commentaires grâce au logiciel GoogleDrive.