Hellow tout le monde,
Comment se passe votre début d’année ? Vous savourez encore vos cadeaux ? Ou peut-être faites-vous durer les festivités ? Certains ont peut-être reçu des carnets ? Ah ! Car aujourd’hui nous allons parler d’un carnet un peu particulier, celui de la mort, voici le Death Note !
Bon, on va pas se mentir, la Sirène a lu le premier tome du manga et avait carrément adoré l’idée. Elle n’a jamais continué, pas le temps quand on gère un rayon jeunesse en librairie, donc pas évident de comparer avec le film sorti en 2017. Après un premier visionnage on peut dire que le film se regarde. Y a pas un jeu d’acteur de dingue et les morts font carrément penser à Destination Finale mais bon. Pourquoi pas. Dommage néanmoins que Ryuk ne soit pas un peu plus machiavélique et badas. En tout cas visuellement, il rappelle bien celui du manga. Quant aux autres personnages… On a le meilleur espion du monde qui ressemble à un ado dopé au sucre, une garce avide de pouvoir et un jeune paumé qui n’a pas beaucoup de charisme mais qui a un sacré pouvoir.
Il semblerait que l’histoire soit carrément éloignée du manga originel. Par ailleurs, le fait que Light révèle tout de suite l’existence du Death Note à la fille qui le fait craquer ça fait un peu cliché. Et cela semble absurde et clairement rapide que L, l’espion surentraîné, trouve si vite le lien entre Kira et un jeune de Seattle. Il fait d’abord tout pour cacher son identité et la révèle ensuite très rapidement à celui qu’il pense être le tueur. Pourquoi ? La Sirène est restée un peu dubitative sur ce point.
Et cette fausse fin ouverte. Mwai. On y croit moyen quand même.
Enfin, ça se laisse regarder, il y a quelques éléments intéressants, comme la face de Ryuk et son costume. Et si on aime les Destination Finale on peut aimer les têtes explosées du film. Si par contre on cherche une adaptation réussie et un film avec un jeu d’acteur de folie, il vaut mieux passer son chemin.
Sur ce, très belle soirée à tous !
À très vite pour de nouvelles découvertes,
La Sirène Tranchante
Hatanna 