Hellow !
Comment ça va la compagnie lecturiale ? Oui un peu de néologisme fait toujours du bien. Oula ! Mais que vois-je ? Déjà le printemps qui approche ! Fichtre ! Que le temps passe vite. Mais trêve de plaisanterie, repartons sur les traces de la Bretagne… Cancale !
Cette ville portuaire née d’un coquillage compte à peine plus de 5000 habitants. De nombreux reliefs permettent de se promener et de trouver de petites plages tranquilles pour une baignade rafraîchissante. Elle est réputée pour ses huîtres et propose de très bonnes crêpes dans certains de ses restaurants, notamment la Villa Blanche, dont la vue est absolument délicieuse. Mais avant d’y arriver, que de champs de choux ! Et de poireaux aussi !
D’ailleurs, petite anecdote originale, à Cancale, la tradition veut que ceux qui désirent manger des huîtres jettent les coquilles sur la plage. Original et surprenant mais ancestral !
Il est donc agréable de se promener sur la jetée et d’observer l’océan qui se retire. Le large appelle l’horizon. Et a fortiori, la sirène. Elle se prend alors à écrire…
Les flammes de l’Enfer brûlent en ses cheveux. Elle en perdrait la tête. Ton image ne s’efface pas. Tu es le démon de ses nuits. Elle saignerait de ses rêves si elle le pouvait. Elle regarde la mer et ton nom étouffe ses entrailles. Ses yeux se ferment et les souvenirs l’assaillent.
Elle plonge pour enfouir son cri dans l’eau qui souhaiterait emprisonner ses poumons. Pourquoi a-t-elle accepté cette proposition ? Sans ces nageoires son esprit serait libre. Mais, sans ces nageoires, qui serait-elle ?
Sur ce, la sirène vous dit à très vite,
Hatanna